l'odeur de ton île
le ciel comme une robe trop grande
le fleuve comme un amant qui bouge un peu en dormant
la lumière sur ta vie
écoute
tu ne sais jamais quand le chemin commence
ni où il finit
tu ne sais rien
ni l'heure ni ta chance
juillet et le silence
le vent dans les histoires
qui s'agitent doucement au fond de ta tête
vastes oiseaux qui s'ébrouent
les trésors que tu glanes
dans le sable mouillé de matin et d'espoir
brillent au soleil
comme tu me manques
même ici
baignée de mille grâces éblouissantes
parfumées
vivaces
sauvages
quelqu'un manque
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